LA
SOUFFRANCE : CONSÉQUENCES !
(Facteur humain)
Aucune personne
sur terre, ne peut prétendre qu’elle ne souffre pas, qu’elle n’a jamais
souffert ou qu’elle ne pourra plus dorénavant souffrir. La souffrance est une
douleur, un mal ou un trouble ressenti et qui pourrait être, physique,
psychologique ou les deux en même temps. Ce malaise affecte considérablement Le
fonctionnement normal de l’individu qui va être perturbé de façon, plus ou
moins grande, selon le niveau ou le degré de la peine ou du chagrin.
Ce sujet est
en réalité très vaste, complexe et varié, il est presque impossible d’essayer d’évoquer
toutes les causes, ou d’énumérer tous les facteurs que peut générer la
souffrance chez l’être humain. Par contre, on pourrait citer quelques effets ou
conséquences qui en résultent.
Les afflictions
seront toujours omniprésentes du fait que l’être humain possède par sa nature, des
sentiments ou des sensations diverses et multiples. Tantôt, il aura des moments
ardus, pénibles et difficiles à vivre ou à supporter, et tantôt des instants d’apaisement
ou d’accalmie où il se sentira heureux et la vie lui paraîtra belle et agréable.
Les fonctionnalités, actions et réactions, dépendent considérablement de l’état
moral de l’individu. On va observer donc
des réactions ou des réponses différentes, selon son état d’âme ou son humour
du moment et ce pour une seule et même action « Vous sollicitez par
exemple une certaine requête, la réponse pourrait être favorable ou défavorable
en fonction tout simplement de l’état d’âme du responsable au moment de votre
demande ».
Le
fonctionnement du cerveau humain, semble en apparence, travailler d’une manière
simple, automatique et parfaite. Seulement, il est facilement perturbé et
affecté, par diverses sensations et sentiments présents dans l’organisme. Il va
falloir en tenir compte, car bien que l’individu soit compétent, qualifié et expérimenté,
il est aussi sensation, sentiment, personnalité, caractère qui affectent son
fonctionnement ou raisonnement.
La
performance, l’efficacité et la fiabilité ne peuvent être obtenues sans le « bien-être »
de l’individu, l’attention du cerveau sera dégradé ou porté sur tout ce qui le préoccupe
intensément ou fortement (physique ou psychique). Prenons à titre d’exemple la
souffrance physique : les personnes qui pratiquent le vol ou les « pickpockets »,
dans les bus ou les lieux publics. Ces gens là, exécutent deux actions presque
en même temps mais qui sont nettement différentes en intensité et en force, ils
commencent par vous bousculer en vous donnant un coup de coude ou d’épaule violent,
ou bien ils vous écrasent le pied en s’excusant, entre temps ils vous piquent votre
portefeuille sans que vous ne vous rendiez compte. Car La douleur était
tellement forte que l’attention du cerveau s’était portée instantanément et
automatiquement sur l’endroit où le mal était très intense. Le cerveau va négliger
la sensation venant de la poche arrière, car pour lui, elle n’est prioritaire
et qu’elle peut attendre pour être exploité. Vous n’allez donc jamais sentir la
main qui s’était introduite dans votre poche, sauf bien sur, si les deux
actions ont la même force, ou sont espacées dans le temps.
Moralité,
quant il y a une peine ou une souffrance, l’attention du cerveau peut être
divisée en pourcentage, l’un pour la tache ou le travail, et l’autre pour le problème
qui le préoccupe, ou bien toute l’attention sera complètement consacré au problème, s’il est très important.
(Le facteur
humain)
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