mardi 8 août 2017

LA SOUFFRANCE : CONSÉQUENCES !

LA SOUFFRANCE : CONSÉQUENCES !
                                                (Facteur humain)

Aucune personne sur terre, ne peut prétendre qu’elle ne souffre pas, qu’elle n’a jamais souffert ou qu’elle ne pourra plus dorénavant souffrir. La souffrance est une douleur, un mal ou un trouble ressenti et qui pourrait être, physique, psychologique ou les deux en même temps. Ce malaise affecte considérablement Le fonctionnement normal de l’individu qui va être perturbé de façon, plus ou moins grande, selon le niveau ou le degré de la peine ou du chagrin.
Ce sujet est en réalité très vaste, complexe et varié, il est presque impossible d’essayer d’évoquer toutes les causes, ou d’énumérer tous les facteurs que peut générer la souffrance chez l’être humain. Par contre, on pourrait citer quelques effets ou conséquences qui en résultent.
Les afflictions seront toujours omniprésentes du fait que l’être humain possède par sa nature, des sentiments ou des sensations diverses et multiples. Tantôt, il aura des moments ardus, pénibles et difficiles à vivre ou à supporter, et tantôt des instants d’apaisement ou d’accalmie où il se sentira heureux et la vie lui paraîtra belle et agréable. Les fonctionnalités, actions et réactions, dépendent considérablement de l’état moral de l’individu.  On va observer donc des réactions ou des réponses différentes, selon son état d’âme ou son humour du moment et ce pour une seule et même action « Vous sollicitez par exemple une certaine requête, la réponse pourrait être favorable ou défavorable en fonction tout simplement de l’état d’âme du responsable au moment de votre demande ».  
Le fonctionnement du cerveau humain, semble en apparence, travailler d’une manière simple, automatique et parfaite. Seulement, il est facilement perturbé et affecté, par diverses sensations et sentiments présents dans l’organisme. Il va falloir en tenir compte, car bien que l’individu soit compétent, qualifié et expérimenté, il est aussi sensation, sentiment, personnalité, caractère qui affectent son fonctionnement ou raisonnement.
La performance, l’efficacité et la fiabilité ne peuvent être obtenues sans le « bien-être » de l’individu, l’attention du cerveau sera dégradé ou porté sur tout ce qui le préoccupe intensément ou fortement (physique ou psychique). Prenons à titre d’exemple la souffrance physique : les personnes qui pratiquent le vol ou les « pickpockets », dans les bus ou les lieux publics. Ces gens là, exécutent deux actions presque en même temps mais qui sont nettement différentes en intensité et en force, ils commencent par vous bousculer en vous donnant un coup de coude ou d’épaule violent, ou bien ils vous écrasent le pied en s’excusant, entre temps ils vous piquent votre portefeuille sans que vous ne vous rendiez compte. Car La douleur était tellement forte que l’attention du cerveau s’était portée instantanément et automatiquement sur l’endroit où le mal était très intense. Le cerveau va négliger la sensation venant de la poche arrière, car pour lui, elle n’est prioritaire et qu’elle peut attendre pour être exploité. Vous n’allez donc jamais sentir la main qui s’était introduite dans votre poche, sauf bien sur, si les deux actions ont la même force, ou sont espacées dans le temps.
Moralité, quant il y a une peine ou une souffrance, l’attention du cerveau peut être divisée en pourcentage, l’un pour la tache ou le travail, et l’autre pour le problème qui le préoccupe, ou bien toute l’attention sera complètement consacré au problème, s’il est très important.
(Le facteur humain)    



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