jeudi 15 mars 2018

AFFAIRE JERADA !


AFFAIRE JERADA !

Quant on ne parvient pas à contenir les situations difficiles, quant on n’arrive pas à gérer les fortes tensions, et quant on est incapable d’éviter le dérapage des événements qui souvent, prennent le caractère de fâcheux, d’inexplicables ou d’incontrôlables, ceci est du tout simplement à l’ignorance ou manque de savoir, en « facteur humain ».

Quant une quelconque situation problématique apparait, peu importe qu’elle soit nouvelle ou habituelle, il est surtout sage, de procéder avec tact et finesse à sa résolution.  Car, résoudre par exemple le problème mécanique d’un véhicule, le diagnostic de la maladie d’un patient, ou trouver les moyens financiers nécessaires pour finaliser un projet, ne se fait pas, selon des règles ou des lois prédéfinies à l’avance.

Quant il s’agit donc de gérer des manifestations, le processus à suivre, reste l’un des plus complexes à réussir dans la vie des décideurs. Les raisons restent nombreuses et multiples, dues naturellement aux réactions et comportements des manifestants, qui dans la plus part du temps, sont inattendues. L’être humain reste certes, imprévisible ou incompris du fait que souvent, il adopte certaines attitudes, que lui-même parfois, ne comprend pas ou n’arrive pas à expliquer.

C’est justement pour ces multiples raisons, que l’étude du « facteur humain », s’avère la science la plus pertinente du monde contemporain. Grâce à son style de présentation simple et aux importants thèmes qu’elle aborde, elle représente le complément nécessaire, chaque fois qu’il s’agit de comprendre une situation ou de prendre la bonne décision.

Cependant, il reste primordial d’en tenir compte, d’un facteur très important. Il existe notamment une multitude de diversités et de spécificités qui sont propres à chaque pays, régions ou ethnies.  L’étude du facteur humain ne pourrait nullement être la même pour tout le monde. Les européens, américains ou africains ont chacun, des mentalités, coutumes, religions…etc. qui leurs soient propres.

Moralité, seul un marocain est donc capable (en fonction des mentalités et de la manière dont raisonnement ses concitoyens), d’élaborer le style, de choisir les sujets et d’adopter le langage qui seraient les mieux appropriés, s’il veut être persuasif et efficace. Sinon, il serait inutile de citer « le facteur humain ».

      

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