AFFAIRE
JERADA !
Quant on ne
parvient pas à contenir les situations difficiles, quant on n’arrive pas à gérer
les fortes tensions, et quant on est incapable d’éviter le dérapage des événements
qui souvent, prennent le caractère de fâcheux, d’inexplicables ou d’incontrôlables,
ceci est du tout simplement à l’ignorance ou manque de savoir, en « facteur
humain ».
Quant une quelconque
situation problématique apparait, peu importe qu’elle soit nouvelle ou
habituelle, il est surtout sage, de procéder avec tact et finesse à sa résolution.
Car, résoudre par exemple le problème mécanique
d’un véhicule, le diagnostic de la maladie d’un patient, ou trouver les moyens
financiers nécessaires pour finaliser un projet, ne se fait pas, selon des règles
ou des lois prédéfinies à l’avance.
Quant il s’agit
donc de gérer des manifestations, le processus à suivre, reste l’un des plus complexes
à réussir dans la vie des décideurs. Les raisons restent nombreuses et
multiples, dues naturellement aux réactions et comportements des manifestants, qui
dans la plus part du temps, sont inattendues. L’être humain reste certes, imprévisible
ou incompris du fait que souvent, il adopte certaines attitudes, que lui-même
parfois, ne comprend pas ou n’arrive pas à expliquer.
C’est justement
pour ces multiples raisons, que l’étude du « facteur humain », s’avère
la science la plus pertinente du monde contemporain. Grâce à son style de présentation
simple et aux importants thèmes qu’elle aborde, elle représente le complément nécessaire,
chaque fois qu’il s’agit de comprendre une situation ou de prendre la bonne décision.
Cependant,
il reste primordial d’en tenir compte, d’un facteur très important. Il existe notamment
une multitude de diversités et de spécificités qui sont propres à chaque pays, régions
ou ethnies. L’étude du facteur humain ne
pourrait nullement être la même pour tout le monde. Les européens, américains
ou africains ont chacun, des mentalités, coutumes, religions…etc. qui leurs soient
propres.
Moralité, seul
un marocain est donc capable (en fonction des mentalités et de la manière dont
raisonnement ses concitoyens), d’élaborer le style, de choisir les sujets et d’adopter
le langage qui seraient les mieux appropriés, s’il veut être persuasif et
efficace. Sinon, il serait inutile de citer « le facteur humain ».
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