Formateur en Facteur Humain, coaching, consulting et resolution de problèmes : LA PERTINENCE DU ‘’FACTEUR HUMAIN’’.

Formateur en Facteur Humain, coaching, consulting et resolution de problèmes : LA PERTINENCE DU ‘’FACTEUR HUMAIN’’.: LA PERTINENCE DU ‘’FACTEUR HUMAIN’’. D’abord, on doit définir ce que c’est le « FH ». Certes, il y a Beaucoup de gens qui en parlent...

LA PERTINENCE DU ‘’FACTEUR HUMAIN’’.

LA PERTINENCE DU ‘’FACTEUR HUMAIN’’.

D’abord, on doit définir ce que c’est le « FH ». Certes, il y a Beaucoup de gens qui en parlent ou qui entendent parler de cette science, ou plus précisément ‘’formation’’, qui est devenue maintenant essentielle dans la vie des gens, et surtout une condition obligatoire dans le marché de travail.

Depuis quelque année déjà, tous les consortiums ou sociétés œuvrant dans des secteurs hautement technologiques (notamment l’aéronautique et ses filaires) l’avaient instauré comme une formation obligatoire pour tous leurs cadres et opérateurs.

L’ignorance de cette discipline était donc vue, comme étant l’ingrédient essentiel manquant, causant une vraie problématique à la performance, la rentabilité et l’efficacité des individus. Une fois qu’elle est additionnée aux connaissances scientifiques et technologiques, le problème est résolu.  

Cette étude se rapporte précisément, aux fonctionnements et comportements de l’humain dans l’environnement de la vie. Elle est indépendante, de ses expériences acquises, de ses diplômes obtenus, ou du poste occupé. L’objectif vise surtout l’exploitation des compétences d’une façon optimale et adéquate, selon les situations ou les moments. Comment ?

Certes, « l’erreur est humaine », elle est omniprésente et fait parti de notre quotidien, personne n’est donc épargnée ou exclue.  Les erreurs existent, lors de la perception des choses, lors de l’interprétation des faits ou données, et aussi quand on va avoir une représentation finale de la situation…etc. moralité, des erreurs vont se produire à tous les niveaux du processus mental ce qui va se traduire en fin de compte par des erreurs de prises de décisions.

Ceci explique pourquoi, Il est capital de comprendre notre propre mode de fonctionnement et d’action. Plusieurs facteurs affectent considérablement le raisonnement, et influencent également le comportement des gens. L’excellence recherchée, ne veut nullement vouloir dire « ne pas commettre du tout des erreurs », (ce qui est impossible). Mais plutôt chercher à commettre le moins d’erreurs possible, à éviter au maximum les facteurs qui les génèrent, et à minimiser leurs conséquences et fréquences. Car il ne faut oublier que c’est grâce aux erreurs, qu’on arrive à se parfaire. « L’erreur est la contrepartie de la performance ».

La compréhension des mécanismes de production de ‘’l’erreur’’, conduit à énumérer tout un ensemble de facteurs (naturels), qui affectent considérablement notre mode de fonctionnement. Il est bien évident que le maitre absolu de l’organisme, est le cerveau. Une meilleure connaissance de ses capacités et limites s’impose.

Par une panoplie de thèmes pertinents et diversifiés, la formation ‘’facteur humain’’, met en relief différentes sources de savoir, expliquant ‘’le comment et le pourquoi des choses’’. L’ego, le stress, la communication, la synergie, la prise de décision et de risque, le briefing, l’automatisme, la confiance …ainsi que d’autres sujets (à la fois scientifiques, techniques et psychologiques), permettent d’élucider beaucoup énigmes. 

La pertinence de la formation en ‘’facteur humain’’, réside justement dans le fait qu’il n y a qu’une seule et unique personne qui dispense les cours.  Le savoir, l’expérience et le vécu réel des situations, sont des atouts majeurs pour que la formation soit réussie.        

Formateur en Facteur Humain, coaching, consulting et resolution de problèmes : PEUT-ON ÊTRE COMPÉTENT ?

Formateur en Facteur Humain, coaching, consulting et resolution de problèmes : PEUT-ON ÊTRE COMPÉTENT ?: PEUT-ON ÊTRE COMPÉTENT ? Bien évidemment que oui. D’ailleurs avec le temps, on finira tôt ou tard par devenir un jour habile ou exce...

PEUT-ON ÊTRE COMPÉTENT ?

PEUT-ON ÊTRE COMPÉTENT ?

Bien évidemment que oui. D’ailleurs avec le temps, on finira tôt ou tard par devenir un jour habile ou excellent dans certains domaines de la vie.

La performance, l’efficacité et l’envie de réussir, sont initiées par l’instinct naturel de survie. C’est justement grâce à cet instinct, que l’être humain arrive à développer des moyens et des techniques afin qu’il puisse survivre et exister.

Cette ‘’compétence’’ que les gens atteignent par la force des choses, diffère d’un individu à un autre. Chacun va exceller dans un secteur qui lui sera particulier. Il va développer des méthodes, techniques et moyens qui lui sont propres, compte tenu de certains critères individuels.

En effet, la personnalité, l’âge, la religion, le quotient intellectuel, le savoir acquis, l’éducation reçue… ainsi que d’autres paramètres, vont déterminer, le degré de la compétence que va atteindre chaque individu. Néanmoins, certaines personnes n’arriveront jamais à atteindre cette qualité, si elles ont choisi des secteurs, pour lesquels elles ne sont pas réellement destinées.

C’est ce qui explique, pourquoi les gens usent souvent, le qualificatif ‘’bon’’ pour designer un quelconque spécialiste. Un BON médecin ! Un BON avocat ! Un BON mécanicien…etc.  Effectivement, trop de gens optent pour des domaines ou des métiers, autres que celles pour lesquelles ils sont vraiment destinés. Les causes peuvent être multiples, variées, justifiées ou très peu convaincantes !

  

Formateur en Facteur Humain, coaching, consulting et resolution de problèmes : LA PERFORMANCE !

Formateur en Facteur Humain, coaching, consulting et resolution de problèmes : LA PERFORMANCE !: LA PERFORMANCE ! Ce mot magique, merveilleux et sidérant, est assurément compris et utilisé par bon nombre de personnes. On l’entend...

LA PERFORMANCE !

LA PERFORMANCE !

Ce mot magique, merveilleux et sidérant, est assurément compris et utilisé par bon nombre de personnes. On l’entend presque souvent dans tous les domaines de la vie, surtout professionnelles. C’est l’une des qualités ou critères demandé dans le marché de travail. En psychologie, Le niveau de performance est défini par ‘’le résultat obtenu dans l'exécution d'une tâche’’.

Le problème observé, c’est que tous les gens sont performants. Chacun l’est à sa façon et selon sa propre philosophie. La perception de cette qualité tant désirée et recherchée est vue comme suit :

Ø  CROIRE QU’ON EST PERFORMANT,

Ø ASPIRER À DEVENIR PERFORMANT,

Ø ON EST EFFECTIVEMENT, PLUS OU MOINS PERFORMANT.

 Quand à croire qu’on est performant, alors que la réalité est autre, est le pire des cas.  La personne en question, souffre de certains problèmes psychiques qui peuvent être dus à une multitude de facteurs. On trouverait entre autres, la méconnaissance de son « soi ». Une ignorance ou une réelle évaluation des vraies capacités qu’elle détienne. Une impéritie des limites qu’elle ne devrait pas franchir. Ceci est du généralement à un «ego » qui a été mal dompté ou mal éduqué à son bas âge. C’est ce qu’on qualifie péjorativement, d’un « manque d’éducation ».  La conséquence de cette grave lacune, constitue une réelle entrave à tous changements ou améliorations futur dans sa vie.

La deuxième perception est adoptée par des gens, conscients que la performance est une qualité à rechercher constamment. Elle n’est pas exactement définie ou limitée. Les domaines de la vie, sont variés et multiples, et chacun d’entre eux exige certaines qualités et compétences qui lui sont spécifiques. On ne peut certes être performant dans tous les secteurs, par contre, on peut le devenir par la volonté et la persévérance. Cette classe de personnes a surtout le sens de l’écoute, le désir d’apprendre et de savoir, et accepte le changement en le considérant comme étant le moyen de l’élargissement de l’esprit. C’est tout à fait l’opposé de la première classe de gens.

La dernière catégorie, est celle qui a réussi à atteindre un degré de performance important. Les gens ont certes bénéficié de connaissances diversifiés et ont du évoluer dans des contextes de la vie, difficiles ou trop exigeants. L’expérience acquise par la pratique et la confrontation, durant de longues périodes à des situations complexes et risquées, ont leurs permis d’acquérir des techniques et procédures qui leurs permettent d’être souvent, plus ou moins performants et excellents.

Formateur en Facteur Humain, coaching, consulting et resolution de problèmes : Nostalgie

Formateur en Facteur Humain, coaching, consulting et resolution de problèmes : Nostalgie:   Nostalgie Chaque être humain, après des années passées de son vécu, il lui arrive de temps à autre, de revire un événement ou une ...

Nostalgie

 Nostalgie

Chaque être humain, après des années passées de son vécu, il lui arrive de temps à autre, de revire un événement ou une phase cruciale de sa vie. Bien que les faits se succèdent et s’entassent dans la mémoire à long terme, on arrive toujours à se rappeler certains épisodes qui restent graves à jamais dans notre parcours personnel ou professionnel.

Quand certaines conditions sont réunies, quand on est par moment seul ou dans un endroit calme ou romantique. Quand il n y a pas de phénomènes qui perturbent notre tranquillité, l’esprit peut consciemment ou non, nous ramener dans le passé lointain pour nous faire revivre des sensations qui sont qualifiées d’inoubliables.

Parfois, comme par enchantement, on a l’impression d’avoir enclenché la commande ‘’Play’’, qui généralement se trouve en haut et à gauche de l’application «souvenirs», pour que le film se relance aussitôt. Et hop, c’est partie ! L’écran invisible s’illumine et la projection débute. Au départ, les images vont paraîtres floues, mais à fur et à mesure que les séquences se déroulent, la netteté commence à devenir claire et meilleure.

J’ai un peu plus de 4000 séries emmagasinées tout au long de ma carrière (une trentaine d’années). La majorité de ces séries n’excédent pas les 50 minutes, je pourrais les qualifier de courts métrages. Seul quelques dizaines de films pourront être considérés de longs métrages, à cause de leur durée qui arrive à atteindre parfois difficilement, 1h 50 minutes.

La sélection d’une série ou d’un film quelconque, se fait souvent d’une façon qui est en rapport avec un fait, un événement ou une circonstance observée, à un moment donné. Par d’exemple, quand il pleut, quand le ciel est invisible et masqué par de gros nuages noirs qui ne laissent filtrer aucun rayon du soleil.  Quand la visibilité est réduite sous l’effet des averses, la série qui va être visionnée est en relation avec l’environnement du moment.

La première image que je revois, c’est que je suis aligné au beau milieu de la piste, les gouttes de pluies s’abattent violement sur la glace frontale du cockpit, rendant ainsi la visibilité plus mauvaise (à cause de l’inexistence des essuies glace). Mon corps est bien ligoté par 6 sangles, afin que nous fassions moi et le siège, qu’un seul ensemble. Ma main gauche est positionnée sur la manette des gaz, tandis que celle de droite tenait fermement le manche. J’attendais attentivement la voix du contrôleur pour lâcher les freins.

 Soudain, une voix raisonne dans mon casque : «Atlas 21, vous êtes autorisé pour le décollage, vent du de 220°, 18 kts, …». Le message est généralement suivi par d’autres consignes et informations importantes. Je relâche aussitôt la pression sur les pédales et en même temps ma main gauche pousse la manette à fond vers l’avant. Les secondes sont très précieuses, le grand souci des pilotes de chasse est toujours le ‘’fuel’’, on cherche Tous, à ne jamais perdre une seule seconde, car dans plusieurs situations elle peut être décisive.

Le réacteur est à plein puissance, le post de combustion est allumé et j’entendis le bruit rapide du ‘’détotalisateur du fuel’’ qui décompte déjà les centaines de litres consommés. En quelque secondes, la vitesse est déjà à plus de 150 km/h, permettant ainsi de chasser les gouttes de pluies de la glace frontale. Une légère pression sur le manche pour soulever la roulette du nez, et afficher l’assiette qui va permettre à l’avion de quitter le sol à la bonne vitesse. Le reste du message émis par la tour de contrôle est mémorisé pendant la phase de décollage.

 Tous se précipitent et se bousculent dans ta tête, les événements et les informations arrivent par bloc et la vitesse est en augmentation vertigineuse. Le cerveau passe à la vitesse supérieure pour gérer une situation très évolutive.  Il va falloir écouter, comprendre, analyser, répondre, anticiper, décider, piloter … d’innombrable actions qui peuvent sembler impossible à les effectuer toutes en un temps bref.  Ceci montre que Dieu le tout puissant a crée l’humain d’une façon parfaite et avec des potentialités incroyables. Aucune machine aussi performante soit elle, ne peut égaliser ou rivaliser la création de Dieu.

Après une quinzaine de secondes, je suis au beau milieu de la couche de nuage. Je coupe le post de combustion et je baisse le siège pour mieux me focaliser sur les instruments du tableau de bord. Je dois veiller à respecter scrupuleusement les données fournis par chaque cadran si je veux survivre. La bête continue à monter selon les normes requises, j’attendais avec impatience la sortie de ce milieu inconfortable et aveugle. Soudain, après 4 minutes qui me paraissaient une éternité, le décor changea brusquement, le soleil brille, le ciel est bleu et je vois au dessous de moi, un tapis blanc qui s’étend sans limite, donnant l’impression que la terre n’existait plus. On a l’impression qu’on est unique dans le monde. Rien que moi et cette machine dont on est avec le temps devenu amis. La vue de ce nouveau paysage tout à fait différent de celui dans lequel j’étais il y a à peine quelques minutes est sidérant. Je me sentais envahi à la fois par des sensations différentes et contradictoires : la puissance, la joie, le bonheur, la suprématie, L’assurance, mais aussi la peur et la folie.

Un coup d’œil sur le jaugeur me rappel que Le temps alloué arrive à sa fin. Il va falloir penser à l’atterrissage. Retrouver son chemin et ne pas perdre le nord si je veux encore remettre les pieds sur terre. Les conditions météorologiques étaient au décollage, défavorables, je dois m’informer maintenant sur la nouvelle météo du terrain pour me préparer à affronter le danger. La mission n’était pas seulement une partie de plaisir, mais elle est aussi une mission de vie ou de mort, car le plaisir a toujours un prix à payer.