RÉALITÉ OU JUSTE,
UNE PUB ?
La seule
vraie école qui est capable de forger et de rendre les gens performants et
efficaces est certes, l’environnement de vie dans lequel, soi on a vécu, soi
celui dans lequel on évolue. Les cours théoriques ou les sciences enseignées lors
des formations classiques dans les différentes écoles, sont certes nécessaires
et importantes, mais elles restent loin d’être suffisantes, pour acquérir les compétences
ou les qualifications requises, qui permettent l’excellence ou la compétitivité
des individus. Pourtant, bon nombre de diplômés le croient.
Effectivement,
plus le parcours de l’humain est parsemé de difficultés, d’entraves et de
complications, plus il voit sa personnalité se façonner et se bâtir d’une
manière solide et cohérente. C’est justement pourquoi, on trouve certains
individus, n’ayant juste qu’un niveau d’instruction moyen, sachent comment exécuter
les bonnes observations ou approches, effectuent des analyses logiques et
objectives, et parviennent en fin du processus, à prendre des décisions
rationnelles et sages. Ce qui n’est pas malheureusement
toujours le cas, pour une grande majorité de gens instruits ou brevetés.
« Le bien-être »,
reste l’un des facteurs essentiels qui permet aux personnes, « le savoir
faire » et aussi le « savoir agir », surtout dans un environnement
devenu trop exigeant et multidisciplinaire. On ne pourrait donc ni donner, ni exceller ou
ni collaborer, si on ne ressent pas le sentiment, d’être bien dans sa peau ou
la quiétude dans son « for intérieur ».
Le bien
vivre, c’est faire connaissance d’abord, avec son propre « EGO »,
car il constitue la source principale du bonheur ou du malheur que peuvent
ressentir les gens. Le « moi »,
diffère d’une personne à une autre et d’une population à une autre. Il est en effet assujetti à la culture, les
mœurs, la religion, les mentalités, le quotient intellectuel…etc. qui sont
propres à chaque individu et qui caractérises sa personnalité.
Les récentes
études réalisées dans le domaine du « facteur humain », permettent
par des procédés pertinents et simples, de modifier d’une manière très
significative beaucoup d’attitudes négatives, en des comportements positifs. De
faire savoir aussi aux gens quels sont leurs points forts et faibles en leurs
montrant, les techniques et méthodes nécessaires pour gérer le stress, interpréter
correctement les choses et surtout effectuer un bon diagnostic, quant il s’agit
de résoudre un problème quelconque rencontré.
Il est devenu
donc primordial et indispensable de nos jours, de se procurer ce complément de connaissances,
relatif spécifiquement aux fonctionnements psychologiques de l’humain. Néanmoins, il existe une condition "sine
qua none" pour y parvenir. Le présentateur doit avoir au préalable, vécu
des situations particulières et réelles, qui lui ont imposé des prises de
décisions sous contrainte de stress, avec un temps tres limité et des risques éminents.
Car la marge de manœuvre dont-il disposait, était souvent restreinte, et le
droit à l’erreur n’était presque jamais toléré.
Expliquer donc,
ou transmettre aux gens comment le cerveau humain fonctionne, quelles sont ses
capacités et limites, et quelles sont les erreurs susceptibles de se produire
dans tous processus de son fonctionnements. Tour ceci ne pourrait être réalisé, que si le
formateur a pratiqué réellement ces phases, et non pas les avoir juste étudié
en théorie.
Il est donc
primordial, que l’animateur et l’assistance, parlent le même langage et soient tous,
sur la même fréquence (un européen ne pourrait en en aucun cas, réussir à faire
comprendre ou à se faire entendre par exemple, par des africains ou des
américains).
Moralité le
présentateur, doit constituer « la vraie valeur ajoutée », permettant
l’efficacité, la rentabilité et la sécurité, espérée par l’assistance. Autrement
dit, la formation ne serait qu’une simple case à cocher dans leurs parcours.
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