samedi 28 octobre 2017

PESSIMISTE ! OU RÉALISTE !

PESSIMISTE ! OU RÉALISTE !
Ceci dépendrait de la façon avec laquelle chaque personne voit, interprète et analyse les choses.
Primo : on ne voit jamais les choses de la même façon, on n’observe pas tous, le même nombre de détails existant, et on ne leur donne pas la même importance ou signification qu’ils ont. De ce fait, l’intégration ou pas de certains éléments, agit considérablement lors de la compréhension d’une situation donnée.
Secundo : la phase d’analyse ou de raisonnement reste propre pour chaque individu, elle n’est ni identique ni standard. Car elle peut être différente et particulière chez la même personne, selon certains paramètres qui sont souvent, instables et difficilement maitrisables.
Tertio : les décisions ou les réactions, sont fonction de plusieurs variables à la fois différentes et multiples. Elles dépendent surtout : des personnalités, des savoirs, des comportements, des âges, des expériences…etc. qui restent spécifiques à chaque personne.

Il se trouve souvent par nature humaine, que l’on soit toujours à la recherche de l’amélioration, du progrès et de la perfection. On lutte pour mener une vie personnelle et professionnelle qui soit heureuse et toujours meilleure dans l’environnement où on évolue. On est donc constamment tenu, de procéder à des modifications ou des changements permanents de certains paramètres, qu’on juge parfois inefficaces ou inappropriés, paraissant être des entraves aux bons fonctionnements et déroulement des choses. Les interventions peuvent donc viser un ou plusieurs secteurs tel que : le personnel, le matériel, la stratégie, la procédure…etc. bref, tous ce qui est susceptibles d’être modifiables et nous permettraient d’atteindre l’excellence, la rentabilité ou la satisfaction.
Sauf, que très fréquemment il arrive que les résultats escomptés ne se concrétisent pas, ou plutôt pas de la façon souhaitée.  Pourquoi ?
Généralement, le diagnostic ou l’analyse des données, n’est pas aussi simple comme on peut le croire, il y a souvent des dissimulations et des détails qui soient omis ou négligés pendant la phase d’observation, c’est ce qui va conduire inévitablement à se faire une représentation de la situation, qui soit fausse ou erronée. C’est justement l’idée finale qu’on s’est faite, qui va nous dicter le choix de solutions ou les actions à entreprendre. 
Tout ce blabla, me mène à l’idée suivante. Il serait donc impossible qu’une personne à elle seule puisse être un jour, capable d’opérer des changements visant à améliorer une société ou un pays tout entier, si tous les acteurs ne n’y participent pas. Un état est un ensemble indéfini de secteurs et de paramètres qui sont toujours en interactions, et ne cessent jamais de changer et de se modifier d’une façon continue et permanente. Il est donc clair, bien que l’on observe, qu’il y a de la volonté, de la clairvoyance, et impressionnante force de caractère chez un leader, le changement désiré, ne pourrait en aucun cas être obtenu, tant que le reste du groupe ou de la population demeure inactif ou hors circuits.
La solution qui soit évidente et surtout inconditionnelle, c’est de réussir à avoir une participation et une collaboration de tout le monde, mais comment ?
La réponse est donc, chercher à donner aux gens, une éducation et un enseignement qui soient surtout qualitatifs et non pas quantitatifs. En effet, le secteur vital ou plutôt essentiel, n’est autre que la bonne instruction et la formation de qualité, qui doivent être dispensées dans toutes les écoles et pour tous les citoyens sans discriminations. 
Il suffit de voir, que les pays qui sont prospères, puissants ou qui dominent le monde, sont ceux qui ont compris assez tôt que le meilleur et l’unique investissement ne pourrait se faire que dans le capital humain. La force d’un état, réside dans la qualité de son système éducatif et des moyens mis en œuvres dans ce secteur primordial afin de former et de préparer des hommes qui dans le futur, vont assumer des responsabilités majestueuses et sacrées.
En conclusion, tant qu’une nation, société ou organisation n’a pas encore adopté cette philosophie dans sa stratégie, le progrès ne serait juste qu’un rêve éphémère.
« Le facteur humain, la science de la performance et de l’excellence »
  



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