jeudi 12 janvier 2017

INTERVIEW 07

Q : bonjour, vous avez disparu de la circulation, j’ étais presque inquiet, j’espère qu’il na rien de grave !
R : Alhamdo lillah, merci de t’avoir soucié, j’avais voulu juste prendre un peu de recul et faire une petite évaluation sur mes activités, mes participations et la stratégie adoptée concernant les réseaux sociaux.
Q : donc, qu’elle est le résultat final ou plutôt, à quoi êtes-vous finalement parvenu ?
R : je dirais que les faits observés, les études et analyses des données récoltées et par conséquent le diagnostic que j’effectue, me donne toujours le même résultat déplaisant.
Q : puisque c’est ainsi, pourquoi vous le faites toujours, sachant bien qu’il n ya pas de changement et que l’aboutissement sera sans doute le même !
R : oui, mais je n’arrive toujours pas à admettre le résultat obtenu, j’ai toujours l’impression qu’il ya quelques choses qui m’échappe, un petit détail qui passe inaperçu, ou une donne que je n’ai pas bien saisie.
Q : pouviez-vous être un peu clair, qu’espériez-vous trouver ou atteindre en fin de compte ?
R : tu sais ! Bien que les choses soient très souvent claires, simples et élémentaires, les gens trouvent fréquemment un moyen pour les rendre compliquées et difficiles, on a toujours cette impression qu’il ya quelque chose qui se cache derrière, qu’il ya un autre sens ou une autre signification non visible qu’il faudrait découvrir ou dénicher. C’est pour cela que la vie qui est initialement simple et belle, est devenue tellement compliquée et insupportable.
Q : que comptiez-vous faire ?
R : les choses sont simples et évidentes, le résultat du diagnostic, démontre ou fait ressortir que la plus part des gens sont très calés, instruits et savent tout faire. Il est ridicule d’expliquer à un ophtalmo comment faire une cataracte, ou apprendre à un mathématicien comment faire une addition. C’est vraiment burlesque de ma part.
Q : oui, ce que vous dites est logique mais vous par contre, vous publiez des thèmes d’un autre genre, c'est-à-dire des sujets en relation avec le facteur humain.   
R : c’est ça le plus grand problème. Quand tu évoque des sujets en relation avec le comportement humain, c'est-à-dire, parler ou expliquer cette nouvelle science, qui jusqu’à présent est inconnue chez nous et que tous les pays développés ont déjà adoptés et généralisé dans tous les secteurs et domaines depuis les années 80, tu te confronte à un mur en béton-armé.
Q : pourquoi donc ? Il ya certainement des personnes qui sont intéressées et qui cherchent vraiment le savoir !
R : oui, j’ai constaté effectivement qu’il ya une minorité qui a compris l’importance de cette science qui permet de savoir : comment gérer ou éviter les conflits et malentendus, comment se comporter en couple et/ou avec les enfants, comment faire régner un climat d’entente et une bonne synergie, que ça soi dans une entreprise, administration ou établissement. Comment aussi manager le stress et faire face aux problèmes quotidiens. Comment éviter les erreurs. Comment communiquer…etc.
Q : et alors, il faut continuer monsieur, non !
R : sans aucun doute mais avec une nouvelle stratégie beaucoup plus efficace et pratique. Dorénavant il y aura des cours, conférences et formations en directs pour les gens intéressés et ceci à l’Association Bouregreg à Sale, dont je viens d’adhérer récemment. Donc le 29 janvier, il y aura le premier thème qui sera donné à la salle des conférences de la dite association.
Q : merci pour ces éclaircissements et bonne chance
R : tu seras le premier invité, donc on se verra le 29, SALUT



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