samedi 15 juillet 2017

UNE BLAGUE AVEC UN DRÔLE DE GOUT

UNE BLAGUE AVEC UN DRÔLE DE GOUT

Il y a un peu plus d’une année, j’avais écrit une correspondance au ministère de transport pour lui proposer des solutions concrètes, efficaces et presque sans frais supplémentaires d’argents, susceptibles de réduire d’une façon considérable, le nombre d’accidents dans le pays. En effet l’hécatombe observée est devenue tellement insupportable, que même des états en guerre ne perdraient pas autant de victimes et d’argents.
Je fus effectivement reçu par le CNPAC à Hay Riad, à qui je devrais expliquer ou donner ma « potion magique » (c’était l’idée avec laquelle j’étais reçu). Bref, l’explication que j’avais donnée était simple, scientifique et objective. La problématique résidait surtout dans les études et le diagnostic des données qui ont été réalisés, car sans une connaissance des vraies causes et facteurs qui causent les accidents, toutes les solutions qui pourraient être adoptées ou appliquées, demeureraient inefficaces et sans résultats, et c’était d’ailleurs le cas.
Sachant bien que j’avais exercé pendant de longues années, la fonction de, responsable de la sécurité de vol et de prévention d’accidents, observateur et analyste de problèmes et dysfonctionnements et aussi instructeur de la science qui se rapporte aux fonctionnements de l’être humain. Le problème majeur se situe bien en amont et il suffirait donc, de procéder à une réorganisation et restructuration du secteur.
Il a été évident et convainquant, que les explications et exemples fournis pendant la discussion ont démonté, une absence de coordinations, de coopérations et de standardisations dans les actions et interventions des opérateurs et acteurs du domaine. Les accidents ne sont pas dus exclusivement aux non respects du code de la route par tous les usagers, comme le laisse voir les PV effectués.

L’anecdote c’est, pour que je puisse contribuer et aider le CNPAC, il va falloir que moi aussi, je me transforme en une association (je ne sais pas si elles servent à lutter ou à augmenter les accidents). On dirait que justement, plus le nombre de ces associations augmente plus on aura moins d’accidents ???

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