Effectivement nous avons l’impression que nous pouvons réaliser deux ou trois taches en un seul moment, comme la capacité d’écouter et d’écrire, Ou mieux encore conduire en écoutant les infos. Le cerveau semble bien capable d’exécuter plusieurs taches simultanément. Mais voyons un peu si c’est bien vraiment le cas !
Nous avons naturellement comme vous le savez, cinq sens qui sont : l’ouïe, la vue, l’odorat, le touché et le gout, ces organes ou ces détecteurs, envoient des informations au cerveau qui vont être traitées, analysées et interprétées en vue d’une éventuelle action ou réaction. L’exploitation de ces données va s’effectuer séparément les unes des autres, suivant une logique propre à chaque individu en prenant en considération, la priorité et l’importance de la situation. Des ordres vont être donnés par la suite à certains organes ou membres pour exécutions.
Prenons le cas où vous conduisez une voiture en ville, vous êtes entrain d’écouter à la radio une information importante qui vous concerne. Dans ce cas précis, le mode "écoute" est sélectionné par le cerveau tandis que les 4 autres modes sont en veilles ou en stand bye, mais continuent toujours d’envoyer les données. Subitement une image transmise par les yeux arrive, montrant un piéton au bord de la route. Immédiatement, le cerveau va passer en mode "pause" pour l’ouïe et porter son attention sur cette nouvelle situation, il va falloir observer et analyser certains détails pour se faire une représentation de la situation. Le piéton est- il debout ! En mouvement ou s’apprete t-il à s’engager dans la rue pour la traverser ! Une multitude d’éléments vont être intégré (distance du piéton, vitesse de la voiture, largeur de la route, le trafic existant etc.) pour prendre la meilleure décision et appliquer les bonnes manœuvres (ralentir, klaxonner, freiner, dévier etc.).
Ce n’est qu’une fois que la situation est claire, que le cerveau pourra actionner le"play" du sens de l’ouïe afin de continuer à écouter la radio. Il y aura certes des mots ou des phrases perdues durant le temps qui a été alloué à la situation précédente et qui peut affecter considérablement le sens général de l’information.
Le cerveau ne peut porter son attention que sur une seule chose à la fois, toute fois la vitesse de traitement des informations qui varie d’une personne à une autre, permet de changer rapidement d’attention. Plus la vitesse d’observation et de traitement est élevée, plus on a l’impression de faire deux ou trois chose en même temps.
Le problème qui différencie les cerveaux des êtres humains, c’est souvent cette faculté de pouvoir porter l’attention sur tel ou tel objet en fonction de leurs priorités et de leurs importances. Si on revient à l’exemple cité de la conduite, beaucoup de gens, qui une fois focalisés sur un sens comme l’ouïe, ne verront jamais le piéton ou ne le remarqueront qu’après son engagement sur la voie. La capacité de switcher et de sélectionner les modes en fonction de leurs importances et des circonstances, dépend de plusieurs critères et paramètres. Ecouter, analyser et répondre aux téléphones, nécessite de la concentration et de l’attention qui se fera au détriment de la sécurité routière.
Prenons le cas où vous conduisez une voiture en ville, vous êtes entrain d’écouter à la radio une information importante qui vous concerne. Dans ce cas précis, le mode "écoute" est sélectionné par le cerveau tandis que les 4 autres modes sont en veilles ou en stand bye, mais continuent toujours d’envoyer les données. Subitement une image transmise par les yeux arrive, montrant un piéton au bord de la route. Immédiatement, le cerveau va passer en mode "pause" pour l’ouïe et porter son attention sur cette nouvelle situation, il va falloir observer et analyser certains détails pour se faire une représentation de la situation. Le piéton est- il debout ! En mouvement ou s’apprete t-il à s’engager dans la rue pour la traverser ! Une multitude d’éléments vont être intégré (distance du piéton, vitesse de la voiture, largeur de la route, le trafic existant etc.) pour prendre la meilleure décision et appliquer les bonnes manœuvres (ralentir, klaxonner, freiner, dévier etc.).
Ce n’est qu’une fois que la situation est claire, que le cerveau pourra actionner le"play" du sens de l’ouïe afin de continuer à écouter la radio. Il y aura certes des mots ou des phrases perdues durant le temps qui a été alloué à la situation précédente et qui peut affecter considérablement le sens général de l’information.
Le cerveau ne peut porter son attention que sur une seule chose à la fois, toute fois la vitesse de traitement des informations qui varie d’une personne à une autre, permet de changer rapidement d’attention. Plus la vitesse d’observation et de traitement est élevée, plus on a l’impression de faire deux ou trois chose en même temps.
Le problème qui différencie les cerveaux des êtres humains, c’est souvent cette faculté de pouvoir porter l’attention sur tel ou tel objet en fonction de leurs priorités et de leurs importances. Si on revient à l’exemple cité de la conduite, beaucoup de gens, qui une fois focalisés sur un sens comme l’ouïe, ne verront jamais le piéton ou ne le remarqueront qu’après son engagement sur la voie. La capacité de switcher et de sélectionner les modes en fonction de leurs importances et des circonstances, dépend de plusieurs critères et paramètres. Ecouter, analyser et répondre aux téléphones, nécessite de la concentration et de l’attention qui se fera au détriment de la sécurité routière.
Moralité le cerveau ne fait qu’une seule chose à la fois, mais avec une grande rapidité pour gérer deux ou trois choses simultanément, c’est ce qu’on appelle : LA DIVISION D’ATTENTION qui n’est pas la même chez toutes les personnes.
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