LA PIRE DES ERREURS !

L’erreur et l’humain sont indissociables et inséparables, elle fait partie intégrante de notre vie, si elle n’existait pas nous serions bien évidemment parfaits et infaillibles. Mais l’erreur est omniprésente et s’intègre dans nos jugements, analyses, communications, observations et décisions. Elle toujours là, même quand on croit parfois que toutes les précautions et mesures ont été prises et qu’elle ne risque pas de se manifester.  

Croire ou penser qu’on ne fait pas d’erreurs ou qu’on a peut l’éradiquer, est une erreur en elle même. On peut certes diminuer sa fréquence de récurrence, limiter ses dégâts ou minimiser son impact mais jamais on ne pourra empêcher sa production. Par contre, il faudrait savoir que sans l’erreur, on ne peut ni progresser ni évoluer car elle est la contre partie de la performance. Le mieux donc est de connaitre les mécanismes et les facteurs qui interviennent dans la production de l’erreur et par la suite la technique et la procédure à suivre pour la récupérer ou se rattraper. Il est à noter que la gravité et l’impact de l’erreur diffère d’un secteur à un autre, une erreur commise dans le domaine nucléaire ou aéronautique à plus de répercussions et de dégâts que celle faite dans un secteur moins technique comme par exemple le textile ou le sport. Tout ceci semble bien évident et logique, la question qui se pose : Dans quel champ ou milieu, l’erreur est fréquente et le pourcentage de sa manifestation est élevé !

Le milieu le plus propice et favorable, c’est quand il ya plus d’ego que de savoir chez l’individu, c’est quand il ya plus de confiance et d’assurance et moins de doute ou d’incertitude. Quand on pense qu’on est capable de réussir là ou les autres ont échoué. Quand on croit que les mauvaises choses n’arrivent qu’aux autres. Quand on ne veut pas admettre qu’on fatigué ou stresse lorsque on l’est vraiment. Bref quand on a l’impression qu’on est le centre de la terre et que sans nous rien ne se fera.

Ne pas reconnaître ses faiblesses, ses lacunes, son ignorance ou ses capacités et limites, est l’une des pires erreurs. Il faut au contraire, les reconnaître et en tirer profit.