dimanche 30 octobre 2016

LE SUICIDE !

Se donner la mort est-il un acte de bravoure ou de courage ? Est-il une façon de manifester son désarroi et son mécontentement ? Permet-il d’atteindre un objectif ou d’avoir un droit quelconque ?                                         
 La polémique que font les gens dès qu’il ya un suicide (peu importe la façon adoptée par les victimes) pour moi elle est inadmissible. Tous se manifestent et apportent leurs soutiens aux victimes au lieu normalement de crier, à l’injustice, l’abus de pouvoir ou le manque du savoir faire de certains responsables. Les journaux télévisés ou écrits, la radio, les réseaux sociaux, évoquent surtout la méthode qui a été cette fois ci pratiquée.  Des images choquantes sont rapidement publiées et divers commentaires et interprétations sont émis par le commun des mortels. Le défunt devient passe immédiatement de l’incognito au renom, il est tout d’un coup un martyr, héros et star ce qui va influencer inconsciemment nombre de gens à y penser à le faire. Croyez-moi le feront sous l’effet de la colère sans se rendre compte
 Que dit l’islam ? J’ai beau cherché dans le coran et ce que j’ai trouvé, je ne crois pas qu’il soit encourageant à inciter quiconque à se suicider. Le châtiment est grave si on tue seulement l’âme de quelqu’un d’autre, quand à tuer la sienne, Dieu seul sait ce qu’il en fera dans ce cas. Il ne faut surtout pas s’attendre au paradis !
Se manifester, réclamer, crier, affronter, frapper, mordre, … faites tout ce que vous voulez, mais par pitié, ne vous suicidez pas et pire par des façons atroces, vous ne gagnerez rien mais au contraire vous perdez tout, (al hayat adounia wa alakhira).

﴿٩١﴾وَمَا كَانَ لِمُؤْمِنٍ أَن يَقْتُلَ مُؤْمِنًا إِلَّا خَطَـًۭٔا ۚ وَمَن قَتَلَ مُؤْمِنًا خَطَـًۭٔا فَتَحْرِيرُ رَقَبَةٍۢ مُّؤْمِنَةٍۢ وَدِيَةٌۭ مُّسَلَّمَةٌ إِلَىٰٓ أَهْلِهِۦٓ إِلَّآ أَن يَصَّدَّقُوا۟ ۚ فَإِن كَانَ مِن قَوْمٍ عَدُوٍّۢ لَّكُمْ وَهُوَ مُؤْمِنٌۭ فَتَحْرِيرُ رَقَبَةٍۢ مُّؤْمِنَةٍۢ ۖ وَإِن كَانَ مِن قَوْمٍۭ بَيْنَكُمْ وَبَيْنَهُم مِّيثَٰقٌۭ فَدِيَةٌۭ مُّسَلَّمَةٌ إِلَىٰٓ أَهْلِهِۦ وَتَحْرِيرُ رَقَبَةٍۢ مُّؤْمِنَةٍۢ ۖ فَمَن لَّمْ يَجِدْ فَصِيَامُ شَهْرَيْنِ مُتَتَابِعَيْنِ تَوْبَةًۭ مِّنَ ٱللَّهِ ۗ وَكَانَ ٱللَّهُ عَلِيمًا حَكِيمًۭا ﴿٩٢﴾وَمَن يَقْتُلْ مُؤْمِنًۭا مُّتَعَمِّدًۭا فَجَزَآؤُهُۥ جَهَنَّمُ خَٰلِدًۭا فِيهَا وَغَضِبَ ٱللَّهُ عَلَيْهِ وَلَعَنَهُۥ وَأَعَدَّ لَهُۥ عَذَابًا عَظِيمًۭا ﴿٩٣
(92) Il n'appartient pas à un croyant de tuer un autre croyant, si ce n'est par erreur. Quiconque tue par erreur un croyant, qu'il affranchisse alors un esclave croyant et remette à sa famille le prix du sang, à moins que celle-ci n'y renonce par charité. Mais si [le tué] appartenait à un peuple ennemi à vous et qu'il soit croyant, qu'on affranchisse alors un esclave croyant. S'il appartenait à un peuple auquel vous êtes liés par un pacte, qu'on verse alors à sa famille le prix du sang et qu'on affranchisse un esclave croyant. Celui qui n'en trouve pas les moyens, qu'il jeûne deux mois d'affilée pour être pardonné par Allah. Allah est Omniscient et Sage. (93) Quiconque tue intentionnellement un croyant, Sa rétribution alors sera l'Enfer, pour y demeurer éternellement. Allah l'a frappé de Sa colère, l'a maudit et lui a préparé un énorme châtiment. (94)


samedi 29 octobre 2016

LA PIRE DES ERREURS !


L’erreur et l’humain sont indissociables et inséparables, elle fait partie intégrante de notre vie, si elle n’existait pas nous serions bien évidemment, parfaits et infaillibles. Mais l’erreur est omniprésente, elle s’intègre dans le jugement, l’analyse, la communication, l’observation, le préjugé la décision etc. elle là, même quand on croit parfois qu’on a tout cerné et maîtrisé et que rien n’a été laissé au hasard.  
Croire à cette idée, penser qu’on a tout fait pour l’éradiquer, est une erreur en soit même, certes on peut diminuer sa fréquence de récurrences, on peut également être capable de limiter ses dégâts, on peut pouvoir la détecter mais c’est tout ce qu’on est capable de faire, d’ailleurs c’est ce qu’il faut justement faire.
Sans l’erreur, on ne peut ni progresser ni évoluer du moment qu’elle est la contre partie de la performance. Il va falloir donc connaitre les mécanismes et les facteurs qui interviennent dans la production de l’erreur et la technique à suivre pour la récupérer ou se rattraper. Il est à noter que la gravité et l’impact de l’erreur diffère d’un secteur à un autre, commettre une dans le domaine nucléaire ou aéronautique à plus de répercussion que celle faite dans un secteur moins technique comme par exemple le textile ou le sport. Tout ceci semble évident et logique, la question qui se pose : Dans quel champ ou milieu, l’erreur se cultive et prospère pour se produire fréquemment ?

Le milieu le propice c’est quand vous êtes dominé par votre ego à cause de votre ignorance et snobisme. Quand vous croyez que vous êtes capable de réussir là ou les autres ont échoué. Quand vous pensez que les mauvaises choses n’arrivent qu’aux autres. Quand vous ne voulez pas admettre que vous êtes fatigué ou stresse lorsque vous l’êtes. Quand vous avez une confiance démesurée en vous même. Quand vous croyez que vous êtes le centre de la terre et que sans vous rien ne se fera…


         Ne pas reconnaître ses faiblesses, ses lacunes, son ignorance est l’une des pires erreurs. 

vendredi 28 octobre 2016

L'EGO, C'EST QUOI AU JUSTE ?

Les définitions, les explications et les avis sont multiples, chacun ou chaque spécialiste dans un domaine quelconque, vous donnera une ou des formules en utilisant des mots techniques, scientifiques ou philosophiques pour vous épater sans pour autant satisfaire votre curiosité. Cette attitude elle-même est une de l’ego.

Dans chaque corps humain cohabitent deux êtres, bien évidement ils ne sont pas matérialisés, mais on les distingue par leurs agissements et comportements. Ces deux êtres sont antagonistes et chacun à une direction complètement opposée à celle de l’autre et équivaut à 180°. Il ya un qui est de nature bon et l’autre bien évidement mauvais, le combat est engagé pour la dominance et la suprématie de l’un sur l’autre. On va donc distinguer 3 situations :
La première, c’est le bon qui va emporter le challenge et il va être en mesure de dresser et de mater monsieur “ l’ego“. Pour ce faire, il n ya qu’un seul et unique moyen : le savoir et la connaissance.
La deuxième, c’est l’ego qui va dominer et soumettre monsieur “le bon“ à ses désirs et caprices, on va observer une soumission totale sans aucune réaction, la cause servilité est dû à l’ignorance et la méconnaissance.
La troisième, une certaine égalité dans les combats, tantôt c’est l’ego qui l’emporte, tantôt c’est le bon.
Ce que l’on peut déduire dans ces trois cas c’est ce qui suit :
 Dans la première situation, la personne mène une vie heureuse, calme et satisfaisante. Elle se sent bien dans sa peau, car elle a compris ce que c’est le vrai sens de son existence. Cette catégorie de gens est très minime
 La seconde classe qui constitue la majorité de personnes, mène un train de vie que l’on peut qualifier d’esclavage et de soumission, ils ont baissé les armes et subissent sans réagir et sans réfléchir. Ils se réconfortent en disant qu’on n’est pas les seuls et on fait comme tout le monde.
 Ceux qui sont dans la dernière catégorie, sont les plus malheureux et souffrent énormément, leurs vies est un enfer et le combat est perpétuel, quand c’est l’ego qui l’emporte, ils éprouvent du remord et regrettent d’avoir perdu, ils se jurent que la prochaine fois ne vont pas se laisser avoir. Quand c’est eux qui gagnent, ils éprouvent un sentiment de bien être et une satisfaction immense à lutter, espérant qu’un jour ils pourront en fin dominer leurs ego et passer à la première classe.
Dieu parle de l’ego dans le coran, c’est : “AL9ARIN“, il nous explique que le jour du grand jugement, ils vont s’accuser mutuellement, chacun essayera de faire endosser la responsabilité sur l’autre. Dieu leur dira que ce n’est plus la peine de se chamailler maintenant et que tous les deux sont voués à l’enfer.

LES AFFAIRES VONT-ELLES BIEN ?

LES AFFAIRES VONT-ELLES BIEN ?

C’est la question que se posent tous les gens qui sont dans les affaires, dans les petites, moyennes ou grandes entreprises. La réponse est souvent presque la même chez tous : «oui ça va alhamdo lillah», en répondant ainsi on veut montrer qu’on n’a ni l’envie d’exposer nos problèmes, ni le temps d’écouter ceux des autres. On s’enferme espérant tout simplement qu’un jour les choses iront bien grâce à l’aide de Dieu. Effectivement les gens ont tendance à garder leurs problèmes et petits secrets pour eux, ceci pour plusieurs raisons que vous connaissez certainement.

La communication et la discussion par un échange d’idées et une mise en commun des expériences, permet aux être humains de partager non seulement le savoir et les techniques mais surtout les erreurs et failles qui ont été commises tout au long de l’évolution de l’entreprise. Faire part des obstacles rencontrés et des décisions inappropriées qui ont été entreprises, permet de donner l’occasion aux inexpérimentés et aux jeunes dirigeants de ne pas tomber dans les mêmes pièges, ceci reste valable si on est bien sur de bonne foi et qu’on aime faire le bien. Mais hélas la concurrence est là et la devise : chacun pour soi et dieu pour tous, est prédominante.

Ce que j’ai pu constater, c’est que bon nombre d’entreprises et d’organismes ont des problèmes et des difficultés engendrés par un ou plusieurs dysfonctionnements dans l’un des maillons de la chaîne de production mais que généralement on ne s’en rend pas compte. Souvent les responsables trouvent des justifications simples pour se consoler, incriminant par exemple, la crise économique mondiale ou la concurrence acharnée. Par contre une analyse et un bon diagnostic aurait pu déceler et mettre en relief un ou plusieurs paramètres qui sont à l’origine du problème. Se résigner ou procéder à des changements ou modifications par-ci et par-là sans une vraie étude et une bonne analyse, ne fait qu’aggraver la situation et reporter l’inévitable. Les solutions sont souvent très simples et tout prêt et c’est ce qui les rend indétectables. Nous avons tous tendance à chercher ce qui est loin et difficiles.

 Chez le médecin, le plus difficile c’est de réussir le diagnostic et de définir l’origine du mal, et non la prescription du traitement. Le vrai expert est donc la personne qui, quelque soit le problème ou le domaine de la spécialisation de l’entreprise est en mesure par l’observation, la pose de certaines questions clés et son analyse arrive à percevoir exactement à quel niveau se situe le hic. Ce procédé s’appelle tout simplement : la technique de résolution de problèmes


  

TELL ME WHY?

Pourquoi, quand rien ne va plus, quand on ne réussi pas, quand les choses se gâtent et qu’on n’arrive même pas à atteindre l’objectif le plus simple, on incrimine quelqu’un ou quelque chose d’autre à notre place ?

Pourquoi, on ne se remet jamais en cause et qu'on essaie tout simplement d’admettre nos erreurs, d’en tirer les leçons et de chercher à nous corriger pour devenir meilleurs?

Pourquoi, quand on voit un ami, un membre de la famille ou une personne étrangère progresser, évoluer et réussir ou parfois juste aimée et estimée pars les gens, on se sent envahi par le sentiment le plus méprisable celui de jalousie et de la haine ?

Pourquoi, au lieu d’aider, d’assister et de donner des conseils, on ne fait qu’enfoncer la victime le plus profondément possible et l’encourager à aller dans la mauvaise direction ?

Pourquoi adhérons-nous à l’idée de : le malheur des uns fait le bonheur des autres ?

Pourquoi un gouvernement qui échoue complètement dans son mandat, vient à la fin nous dire que ce n’était pas de sa faute, que c’etait l’autre ou les autres fantômes qui en étaient la cause ?

Pourquoi n’était- il pas judicieux de déposer les armes et de nous en aller quand nous constatons que nous ne sommes plus maitre de la situation et d’avouer qu’on n’a ni les compétences ni les moyens pour réussir ?

Pourquoi prônons-nous l’islam dans un pays entièrement musulman et au milieu de personnes probablement plus musulmans que nous ?

Pourquoi on n’arrive même pas à respecter les choses les plus élémentaires de la vie. Comme tirer la chasse après avoir uriné, poser une plaque de signalisation la où il faut, stationner sans gêner les usagers ou tout simplement faire la file et attendre son tour comme tout le monde ?   

Soyons humbles, honnêtes, justes, francs, bref soyons tout simplement de vrais musulmans comme nous le demande Dieu sans trop philosophie.

jeudi 27 octobre 2016

EXPERT OU PROFESSIONNEL ?


Les définitions et les explications n’en finissent pas. L’expert pour la majorité des gens est une personne qui est en mesure d’apporter par son expertise une solution à un problème donné, généralement dans un domaine bien spécifique et limité. C’est en quelque sorte une personne qui arrive à trouver des solutions pertinentes aux difficultés rencontré dans un secteur bien défini alors que d’autres non pas pu. L’expert, l’est souvent dans un seul et unique secteur et non dans n’importe lequel. Peut-on dire donc qu’il est expert, ou juste un professionnel du domaine ?

Personnellement, à mon avis, la définition que je peux attribuer à quelqu’un d’expert (personne qu’on ne rencontre pas au premier coin de la rue) et non comme de coutume à ceux que je qualifie  
uniquement de professionnels, est comme suit :
L’expert est une personne qui possède en plus de son expérience, des connaissances générales variées et vastes et non pas forcement approfondies. Il est surtout doté de certaines facultés innées dès sa naissance et que le savoir, la connaissance et l’expérience ne font que les améliorer et affiner.
L’observation : tous les gens n’ont pas la même capacité à observer et détecter les événements et détails. On voit mais on ne capte pas tout, la capacité et la vitesse d’enregistrement sont différentes.
La mémoire : l’accès aux données emmagasinées ne se fait pas d’une manière standard et pareille pour tous. La prédisposition de la mémoire de travail et la manière de son utilisation fait la différence entre les personnes
Le raisonnement : les outils de traitement de l’information, l’intégration du nombre éléments permet de créer une représentation de la situation propre à chacun et donc des actions contradictoires.
L’intelligence : le niveau ou le degré que possèdent les gens n’est jamais le même pour tous et par conséquent, il joue un rôle déterminant dans la compréhension et l’adaptation aux événements et changements de l’environnement dans lequel évoluent les individus.

L’expert, c’est donc la personne qui est en mesure de pouvoir observer, analyser et raisonner dans n’importe quel domaine. Il possède les atouts et moyens nécessaires qui lui permettent d’opérer et d’agir dans un milieu nouveau et d’apporter la solution adéquate. L’expert avec les facultés et capacités dont il est doté, développe tout au long de sa vie des procédés et techniques lui permettant d’intervenir dans n’importe quel domaine.

Dire donc qu’un professionnel est un expert, c’est dire que tous les gens le sont.  





mercredi 26 octobre 2016

POURQUOI UNE FORMATION EN FH ?

Les dirigeants dotés d'une bonne vision, ont compris depuis fort longtemps que la fonction Ressources Humaines est l’élément clé du succès et que la réussite ne saurait s’atteindre si, ils se focalisent juste sur les aspects purement financiers. C’est justement la raison pour la quelle, ils replacent aujourd'hui le facteur humain au centre de leurs préoccupations.

Recruter le bon profil et le mettre au meilleur endroit ne suffit pas, il faudrait surtout choisir celui qui va le mieux s'adapter à la culture de l'entreprise, au travail en groupe et à connaitre ses capacités et limites pour s'impliquer entièrement et en toute sécurité.
Il est à noter, bien que les opérateurs soient qualifiés et que les défaillances techniques ne soient pas graves, l’accident était souvent du aux choix, stratégies et manœuvres exécutées. Le facteur humain était toujours impliqué (60 à 80% en aéronautique) et l’accident était souvent du aux choix, stratégies et manœuvres exécutés. La communication, résolution de problèmes, stress, fatigue, l’ego…était toujours cité comme facteurs catalyseurs de catastrophes.

La formation en facteur humain permet certes de palier à ces phénomènes en donnant systématiquement aux personnes, l’occasion de réfléchir sur leurs propres comportements en situation, la compréhension des actions ou émotions de celles d'autrui, la manière dont l’opérateur réagit à la réalisation d’un acte problématique et en fin de compte, l’impact du groupe sur l’individu.

 Le FH est un complément aux acquis techniques assimilés lors des formations classiques mais qui demeure capitale, il s'agit d'une composante de la stratégie d’entreprise qui vise à réduire la probabilité d'échec ou l’atteinte d’un projet visé.
Etre plus conscient de nos ressources accroît notre flexibilité et notre résistance au stress. Faire régner une bonne synergie au sein du groupe permet de renforcer les interactions entre tous les membres en vue de déclencher et d’entretenir l’adaptation de l’ensemble pour aboutir à une coopération avec une forte obligation de complémentarité

C’est en fin de compte de la psychologie, mais simple, pratique et comprise par tous. Les themes sont dispensés en langage usuel et les exemples sont pris du vécu quotidien. Pour ce faire le formateur doit être nécessairement une personne qui à réellement évolué dans un contexte compliqué et contraignant.  
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mardi 25 octobre 2016

LES DIFFÉRENTES CATEGORIES DE GENS

Effectivement, il y en a plusieurs espèces et genres d’êtres humains selon le contexte choisi.  Je vais choisir celui du cerveau ou plus précisément le "QI", Quotient Intellectuel ou d’Intelligence, mais on réalité ils sont différents.
Les gens se divisent en 3 grandes espèces bien distinctes:
Le premier groupe, à qui on attribue une variété de noms : idiots, cons, bêtes, sots, bleu etc.
Le deuxième, qui est tout à fait l’opposé du premier de 180°, on l’appel celui des cracks, experts ou intelligents
Le troisième et dernier groupe, celui ou les gens sont d’intelligence moyenne, normale ou standard.
Le premier et le deuxième groupe, représentes un pourcentage faible par rapport au troisième où la plus part des gens (entre 65 à 75%) se situent. Nous serons maintenant confrontés à deux situations particulières. Dans chaque groupe, nous allons observer deux sortes de personnes, il ya celui qui est conscient de son appartenance et qui accepte l’évidence et la réalité de la vie, il est donc équilibré. Le plus grand problème, est celui de celui qui ne veut pas accepter la situation et ne veut pas admettre la loi et la logique de la vie. Il se révolte contre la nature et veut être dans la peau de quelqu’un d’autre. La souffrance sera permanente et vivra toujours dans l’instabilité et le malheur.

Comment pourrai-je vous expliquer ce qui peut vous paraître inéquitable et inacceptable. Il faudrait juste savoir que chacun d’entre nous a par exemple un certain nombre de points qui est le même chez tous les gens. Supposons 100 points par personne, qui vont être partagés sur plusieurs secteurs. La santé, la beauté, la richesse, l’intelligence, les enfants, le mariage etc. une grande partie de cette dotation sera allouée à un secteur bien spécifique. Prenons le cas du "con" qui n’a eu que 6 points dans le secteur de l’intelligence, mais il a 37 dans la richesse et 21 dans la santé etc., l’essentiel il aura au total 100 points et pas plus. Pour l’intelligent, qui a eu 43 dans ce secteur, mais que 8 dans la richesse et juste 7 dans la santé. Moralité il est intelligent mais il a une mauvaise santé et juste un peu d’argent, contrairement à l’autre qui a une intelligence médiocre mais il a plus d’argent et une meilleure santé

Conclusion, on ne voit que le secteur où il ya le maximum de points chez l’autre ?

J’espère que j’ai pu, vous faire parvenir mon raisonnement, expliquer par l’écrit est plus difficile que par la parole. Surtout que je ne suis pas écrivain.

lundi 24 octobre 2016

LES ÊTRES HUMAINS SONT COMPLÉMENTAIRES.

Dieu disait dans le sain coran qu’il nous a crée, peuples, factions et individus pour que nous, nous cohabitons. Savez-vous pourquoi ?
La sagesse et l’équité de dieu n’a pas d’égale, nous sommes fait pour dépendre les uns des autres et nous avons besoin de nous unir pour exister, survivre et évoluer. Il suffit juste de voir que chacun d’entre nous est incapable de faire ce que l’autre peut faire dans un domaine spécifique. Chacun excelle et possède des moyens innés pour être un vrai spécialiste ou expert dans un secteur propre à lui. Nous pouvons certes essayer de faire ce qu’il fait, mais nous ne serons jamais capables de le réussir comme lui. Pouvons-nous tous faire la médecine, l’ingénierie, le pilotage, la musique, la peinture etc. ? En quelque sorte oui, mais c’est comme lorsque nous disons, à force de forger on devient forgeron mais pas un excellent forgeron, nous serons juste moyens ou médiocre.
Le domaine de chacun est différent de celui des autres, chacun rayonne dans le sien, sinon pourquoi nous demandions toujours, s’il ya un bon docteur ? Un bon avocat ? Un bon mécanicien ? Pourquoi utilise-t-on l’adjectif "bon" ? Pourtant ils ont tous des diplômes, ont tous fait des études et ils possèdent de l’expérience ! La réponse est simple, il ya des gens qui ont choisi des métiers qui ne sont pas les leurs, ceci pour divers raisons : argent, pouvoir, moyens, contre temps, désir de leurs parents etc. tous ceux qui ont été contraint d’aller vers un domaine au quel ils ne sont pas voués ne seront que des forgerons, ni plus ni moins.
Vous connaissez tous l’expression, qui dit : ce mec a le métier dans le sang ou dans les veines, c’est tout simplement parce qu’il fait, ce dont il est naît pour faire, généralement c’est à lui qu’on dire : Expert !
Le nombre d’années passé aux études, les diplômes, les stages et formations ne peuvent jamais faire de quelqu’un, un expert, mais au maximum un bon professionnel.
Je ne sais pas comment sera comprise mon analyse ou mon explication du moment que je ne sois ni connu ni ayant un certain renom. D’ailleurs la plus part des gens n’obtiennent le droit à la réputation, que des siècles après leur mort, chose qui est bonne.

LE DEBUT DE LA FIN

Pessimiste ? Oiseau de mauvais augure ? Débile mentale ou un ignorant ? Pensez ce que vous voulez, ou comprenez ce que votre petite matière grise vous dicte
. L’évidence, c’est que nous ne comprenons pas toutes les choses de la même manière. Nous n’avons ni la même culture, ni le même niveau d’instruction, ni la même personnalité, ni la même expérience, ni rien d’autres sauf que nous sommes tout justes des êtres humains. Nous ne pouvons pas observer les mêmes faits et intégrer les mêmes données et par la suite comprendre les mêmes scènes et scenarios de la vie d’une façon identique.
Entre apprendre le coran par cœur et le comprendre, bien qu’il soit simple et clair, il ya toute une histoire. Entre se référer et prendre comme base les sourates et les versets du coran, et se contenter d’écouter les hadiths souvent modifiés et manipulés par certaines personnes pour des buts malsains est une naïveté. Entre être musulman pratiquant et veiller juste à l’application des directives et conseils de Dieu, et de vouloir jouer le rôle du prophète est une fourberie. Entre avoir la foi et la conviction par l’exécution de bons gestes et actions ou se contenter de porter la barbe et l’habit afghan pour prouver que vous êtes un vrai musulman est une duperie.
Plus de 80% ne lisent pas le coran et plus de 98% qui le font, le comprennent de travers. Le danger plane sur le pays à cause de ces données. Donc méfiance !

dimanche 23 octobre 2016

PORTER UN JUGEMENT SUR UNE PERSONNE !



Tout le monde juge tout le monde, d’ailleurs c’est normal et naturel. Les critères et les méthodes sont différentes et diversifiées. A première vue, on aura au départ une idée ou un pré jugement qui va généralement influencer la suite des événements. Cette première impression, Bonne ou mauvaise est conditionnée par plusieurs détails relevés sur la personne. Le visage, l’âge, l’attitude, les habits, l’endroit, l’heure et le but de cette rencontre. La liste n’est pas exhaustive et dépend des capacités et facultés de chacun d’entre nous à porter son attention sur certains détails. Certaines personnes classées d’exceptionnelles, peuvent vous surprendre par le nombre des signes perçus et la rapidité avec laquelle elles opèrent. Il est donc évident, que plus vous observiez de détails, plus votre jugement sera logique. Notez aussi que pendant la discussion votre regard pourra être orienté vers certains endroits à la recherche d’indices qui peuvent confirmer, infirmer ou douter sur la réponse donnée par votre interlocuteur.  

Par exemple, quand vous lui demandiez s’il est marié ou non, votre regard va normalement et automatiquement porter sur ses mains, pour chercher la présence ou l’absence de l’alliance qui pourra valider sa réponse. Le ton, les gestes, le regard et le temps que mettra votre partenaire pour rétorquer, peuvent aussi vous servir de moyens quand à la véracité ou le doute de ses réponses.

Opiner sur une personne n’est pas chose facile et il faut être conscient de la difficulté de l’opération. A noter que pour une même personne, on peut avoir des opinions différentes. Donc ne pas se fier trop aux jugements des autres.


samedi 22 octobre 2016

OBJECTIF OU JUSTE UNE ERREUR INVOLONTAIRE !


Pour détruire un objectif, il est nécessaire d’utiliser un armement compatible avec sa forme, sa nature, sa grandeur et sa position, ainsi que d’autres critères bien évidemment sont pris en compte.  Les experts, pour avoir un maximum d’efficacité, choisissent le point le plus vulnérable et l’arme la plus destructrice pour réussir la mission à plus de 80% de désintégration.

Si on veut donc détruire tout un état, il va falloir user d’autres moyens et d’autres armements, généralement le nucléaire. Le problème de cet armement, efficace et destructeur détruirait tout, sans pouvoir laisser aucune chance pour exploiter et profiter des richesses existantes à cause de la radioactivité, ce n’est pas donc l’objectif souhaité.  Par contre il ya mieux à faire, on peut juste détruire les peuples tout en préservant les richesses des terres et une main d’œuvres ouvrières et serviables. Il va falloir donc juste viser le cerveau de ces gens et l’inhiber à fonctionner et réfléchir. Détruire l’enseignement et faire répandre l’ignorance ne coûte rien à l’assaillant.  L’idée bien qu’elle nécessite un peu plus de temps mais elle est satanique, efficace et sure.

L’enseignement sans équivoque, est le pilier le plus important que toutes les nations du monde, autres qu’arabo-musulmanes, protègent et veillent sur sa bonne marche et sa bonne santé. Chose que nous n’avons pas fait et les conséquences sont maintenant très visibles et réelles. Le Maroc est dans la même situation et sur la même voie et ça saute aux yeux. Je me demande si vraiment les marocains, sont des vrais marocains ???


les diplômes suffisent-ils ?


Les diplômes sont-ils à eux seuls satisfaisants pour donner et étaler les compétences et les qualifications d’une personne ? Les recruteurs, DRH et chefs d’entreprises, se basent en grande partie sur ce qu’un CV présente comme nombre de certificats, mentions, stages et expérience effectués par le candidat. Certes le nombre de prétendants est souvent trop élevé et nécessite beaucoup de temps et de volonté pour consacrer quelques minutes à chaque CV. Généralement le lecteur porte son choix sur un, voir maximum deux critères pour choisir ou rejeter ce qu’un pauvre candidat s’est forcé de préparer minutieusement pendant de longues heures. Effectivement, depuis quelques années, le rapport entre l’offre et la demande ne cesse de grandir et les recruteurs deviennent de plus en plus exigeants, mettant la barre toujours de plus en plus haute. Les critères demandés sont innombrables, les attributions parfois occupent toute une page entière, mais par contre le salaire proposé est mesquin.
Malgré cette stratégie, l’objectif visé reste toujours difficile à atteindre. Ce n’est ni le nombre de diplômes ni l’expérience ni les qualités personnelles mentionnés sur le CV qui sont déterminantes pour dénicher l’élite parmi les postulants.  On constate très souvent qu’on a fait le mauvais choix dans la sélection. Pourquoi donc ça arrive ? Il est parfois nécessaire ou plutôt sage de se remettre soit même en question.  Les sélectionneurs ont t-ils tous d’abord les moyens et les capacités pour effectuer le bon diagnostic et observer les moindres détails et attitudes du candidat ? Généralement l’être humain dans tous les problèmes observés, ne se remet jamais en cause et se contente d’endosser la responsabilité de son échec sur quelqu’un ou quelque chose d’autre. L’exemple du médecin qui, quand le patient lui dit qu’il a encore toujours mal, pense souvent que c’est le malade qui n’a pas su respecter les prises des médicaments ou le non suivi rigoureux du régime prescrit. Il ne doutera jamais que c’est peut être son diagnostic qui est erroné.


Recruter, c’est observer, écouter, évaluer et tester pour en fin juger. Des qualités personnelles qu’aucun diplôme ne peut mettre en valeur, mais qu’une formation en facteur humain permet certes de les améliorer.

jeudi 20 octobre 2016

SUPPORTASSIONS OU PEUR ?


Supporter, encaisser, résister sont certes des qualités et vertus recherchées et recommandées. Ils disent que nous les marocains en dialecte «sabbara». Très bien ! Mais chaque chose à ses limites, on peut effectivement endurer et supporter, mais il arrive un certain moment où bien qu’on le veuille ou non, on flanche. C’est la règle de la vie, “sbar" à ses limites qui varie d’un être à un autre et d’un peuple à un autre peuple. Si maintenant on parle du "sbar“ des marocains, là encore je vais l’ajouter au livre des Guinness, voir le lien :https://www.facebook.com/photo.php?fbid=369817580016868&set=a.284599148538712.1073741829.100009658876762&type=3
Mais on réalité ça serait une duperie, nous, on est les premiers dans le monde, juste dans les choses mauvaises ou tordues, les gens ont fait tout simplement une transition sans se rendre compte en passant de la supportassions à la Peur. Ce n’est plus une affaire de grande endurance, de résistance ou de politesse mais c’est une peur bien installée et depuis très longtemps. Les marocains ne sont pas “sabbara “ mais plutôt peureux, égoïstes et ignorants.
Vous avez vu que tous les pays arabo-musulmans ont été détruit l’un après l’autre, cette politique est voulue, orchestrée et planifiée depuis très longtemps. Le comble c’est qu’ils nous laissent s’autodétruire et par qui ou quoi ? Par nous même et par notre grande ignorance de notre propre religion.
Le FMI est l’arme la plus redoutable et la plus efficace, nous avons besoin donc de gens compétents, clairvoyants et experts et non de chefs de partis suivie par une horde d’ignorants.
Il est plus que jamais impératif et urgent d’armer le peuple par le savoir, il faudrait certainement aussi commencer par les soi disons responsables, vous êtes messieurs à 180° de la voie de la sagesse.

SOMMES NOUS VRAIMENT BÊTES ?

J’essaie de me convaincre et de dire que ça ne peut pas être possible, les marocains sont excellents dans tous les domaines et partout où ils y sont. Ils ont prouvé qu’ils ne sont ni bêtes ni idiots et pourtant nous sommes considérés ainsi par nous concitoyens et nos gouvernements.
Les décisions prises, les explications avancées et les agissements de nos responsables démontrent de l’ironie et de la dérision envers le peuple. On a l’impression que nous, les citoyens de ce pays, nous ne sommes que des fourre-tout et des gobes-tout, aucune considération ou estime n’est pris à notre encontre et c’est pour cela que je me suis posé la question : sommes-nous vraiment bêtes ?
De mêmes, le comportement observé entre nous-mêmes, que ça soit sur les routes, dans les administrations ou les sociétés, dans les trains ou bistrots, dans les écoles ou les facs, bref partout où il y a plus de deux marocains, c’est le bordel, l’arrogance et le snobisme. Le respect, le civisme, le savoir vivre, la galanterie, on ne les applique que lorsqu’on quitte le territoire marocain ou quand on est en face d’un étranger.
Pourquoi donc ce comportements ou ces attitudes inexpliqués ? Pourquoi on se sous-estime réciproquement ? Pourquoi on voit des gens qui ont des voitures meilleures qu’eux et qu’une calèche leur irait à merveille ? Pourquoi des gens occupent des postes qui dépassent de très loin le peu de compétences qu’ils ont, alors qu’ils auraient à peine réussi la fonction d’un berger ? Pourquoi, on nous publie des pubs, que si on ne se retient pas on s’arracheraient les cheveux ?
Sommes-nous donc bêtes jusqu’à ce point ou tout simplement nous aimons jouer le jeu ? Je crois qu’à force de jouer ce jeux à la con, on a finit par l’être en fin de compte.

BRIEFING ET DEBRIEFING !


Très peu de sociétés et d’administrations ne connaissent pas d’abord ce que signifient ces deux mots, pourtant l’importance ou la contribution à l’évolution est capitale.

Le briefing permet de définir ou de rappeler les objectifs visés, de motiver et d’impliquer le personnel, de sortir de la routine et de contribuer à la transmission des informations. Il peut être effectué chaque jour, semaine ou mois en fonction de l’activité et du nombre des employés. Le briefing permet, en premier lieu un survol rapide de la situation générale de la société : amélioration, dégradation ou stagnation des affaires, en deuxième lieu de rappeler le rôle et l’objectif de chacun des acteurs et en troisième lieu, les nouvelles directives ou procédures à observer dans le futur.

Quand au débriefing, il permet de collationner les résultats, s’informer sur les problèmes et difficultés rencontrés et de remédier aux dysfonctionnements.

La formation et le coaching s’avèrent de plus en plus obligatoires. L’investissement n’est pas uniquement monétaire mais plutôt humain.
Henry Ford :
« Vous pouvez prendre mon entreprise et brûler mes bâtiments ; si vous me laissez les hommes, je rebâtirai aussitôt. »




FACTEUR HUMAIN ET L'ERREUR


Les études menées depuis les années soixante ont démontré que l’implication du facteur humain selon les cas, se situe entre 60 et 80%. Les causes sont imputées à la nature psychologique de l’humain tel que : la fatigue, l’inattention, l’erreur de jugement, les réactions inadaptées, le manque de rigueur, l’incompréhension et d’autres facteurs en relation avec le fonctionnement et le comportement de l’individu.
Il faudrait tout d’abords distinguer entre : L’ERREUR, LA FAUTE ET L’INDISCIPLINE. Les définitions et les mesures qui doivent être prisent à l’encontre de chacune d’entre elles sont différentes, dans la mesure où elles se produisent dans des buts totalement différents. 
                          
 Pour l’erreur qui fait partis intégrante du comportement humain, elle se définie comme : «Action effectuée différente de l’intention ou du but». Exemple : je me lève pour vous saluer et je renverse mon verre. Mon intention c’est de vous saluer et non de reverser le verre, l’action donc qui s’est produite est différente de mon intention. L’erreur est donc omniprésente, d’ailleurs tout le monde en commet et même les experts ne sont pas infaillibles. Pourtant l’erreur est indispensable à l’apprentissage et à l’amélioration. C’est grâce notamment aux erreurs commises que nous prêtons beaucoup plus d’attention et que nous cherchons à apprendre et comprendre davantage pour s’améliorer et être plus efficace.  


Ne pas admettre l’erreur, ne pas en commettre encore ou tenter de l’éradiquer, est une erreur monumentale. Il faudrait au contraire comprendre les mécanismes de production d’erreur et savoir les récupérer ou le cas échéant se récupérer.  La formation pour tous au facteur humain est devenue plus que jamais indispensable et efficace.

mercredi 19 octobre 2016

RESOLUTION DE PROBLÈMES !




Il y a un proverbe qui dit : «le fait de ne pas avoir de problèmes, est un problème en lui même». On ne peut pas vivre sans problèmes, sinon la vie serait monotone et n’aurait ni sens ni goût.
Pourtant une question qui se pose d’elle-même ! Comment résoudre les problèmes auxquels nous sommes confrontés quotidiennement ? Quel est le procédé adopté par chacun d’entre nous pour trouver une solution satisfaisante ? Agissons-nous tous de la même façon et de la même manière face aux difficultés rencontrées ? Y a-t-il une technique à connaitre et suivre pour trouver la bonne solution ?
Certes, les méthodes et moyens utilisés diffèrent d’une personne à une autre et de chaque situation distincte. De même la détection d’un dysfonctionnement ou d’un obstacle quelconque n’est pas perçu au même moment et de la même façon par tous. Le degré de vigilance ou d’attention porté sur les faits et événements n’est pas égal chez tous les gens. Pour un même problème, Il y aura certains qui vont l’observer plus tôt que d’autres, ils auront donc une longueur d’avance sur les retardataires et par conséquent les dégâts engendrés seront limités ou réduits. Le facteur "temps“, joue dans la plus part du temps un rôle déterminent.
S’ajoute au facteur temps, la procédure à suivre pour observer et analyser les faits et détails qui permettent de faire une représentation de la situation qui va nous aider à comprendre et raisonner pour en fin agir en adoptant la bonne solution. C’est un processus logique et naturel que nous choisissons tous, mais souvent d’une façon désordonnée que parfois on omet une étape décisive. Effectivement tout dépend du diagnostic qui va nous donner une conclusion finale sur les causes et les circonstances qui étaient à l’origine du problème, dysfonctionnement ou du mal entendu. La difficulté réside donc, dans l’observation, l’analyse et la compréhension de la situation et non dans l’application ou le choix de la solution. Le médecin par exemple fait de même, il est beaucoup plus difficile de diagnostiquer le mal du patient que de lui prescrire un traitement. S’amuser à appliquer telle ou telle solution ne mènerait à rien, il va falloir plutôt décortiquer toutes les données et d’une façon méthodique et logique.
La technique de résolution de problème existe belle et bien, elle permet de palier à toutes les difficultés qui peuvent être liées aux accidents, rendements, marketing et autres. Les conflits entre collaborateurs, amis, voisins, famille et autres, sont sources de stress et une entrave à l’efficacité et au rendement, elles peuvent être surmontées aisément grâce à l’adoption de ce procédé.
Très souvent on passe à coté de la solution sans jamais pourtant la voir, la technique de résolution et la détention de certaines qualités permettent effectivement de la déceler.

mardi 18 octobre 2016

LES VRAIS ENJEUX


L’être humain souffre de plus en plus de stress, son en état psychique ne cesse de s’aggraver de jour en jour et d’année en année, les choses ne font que s’empirer. La consommation de médicaments antidépresseurs et somnifères ne cesse d’augmenter et d’une façon alarmante. La ruée vers les pharmacies dans l’espoir de trouver un remède miracle à ce mal n’est qu’une issue éphémère.
Le monde évolue, la technologie se développe et la population mondiale s’accroit, l’être humain se voit obliger de doubler d’effort et de concentration. Ceci se traduit par un manque de temps qui semble devenu pour tous, très court et des ressources toujours manquantes pour essayer de faire face aux demandes et exigences de la vie moderne.
La concurrence est certes très farouche et pour avoir une place dans un contexte si compliqué et diversifié, il faudrait nécessairement des compétences nouvelles et bien spécifiques. La marge de manœuvre est très limitée et la moindre erreur est devenue fatale.
Se contenter juste d’un investissement matériel ou monétaire, recruter et choisir les meilleurs talents s’avèrent désormais obsolète. La réussite et la survie de tous organismes structurés et organisés ne peut être réalisée sans une mise en commun des compétences de tous ses acteurs.

La nouvelle orientation des dirigeants modernes pour le long terme, c’est la prise en conscience de l’importance du facteur humain et du potentiel de performance qui en résulte. L’accompagnement des dirigeants, des managers et des opérateurs s’avère plus que jamais indispensable. Atteindre les objectifs, optimiser les coûts, être efficace, productif et performant est une affaire de tout le groupe.

La formation en facteur humain permet effectivement de créer cette cohésion à l’intérieur de ce staff.

LES MAROCAINS DANS LE LIVRE DES GUINNESS


Nous sommes imbattables et indétrônables dans plusieurs domaines, je citerai juste à titre d’exemple ces qualités remarquables dont nous détenons les records :
L’hypocrisie
Le mensonge
L’ignorance
La peur
Les racontars
L’égoïsme
Le snobisme
Le blabla
L’imitation
L’Entêtement
L’impolitesse
Et la liste n’en finie pas, un peuple très intelligent qui peut créer, inventer et exceller dans tous les domaines sauf dans le sérieux. Félicitations mes compatriotes, il faut persévérer. D’ailleurs on est presque tous dans la zone rouge et il n’y a pas mieux que la couleur rouge. Etre dans la masse et le reste peu importe.

lundi 17 octobre 2016

BESOIN OBLIGE D'UNE FORMATION EN FACTEUR HUMAIN.


Le fait d’être conscient de nos capacités et compétences, de savoir comment gérer les ressources dont nous disposons à chaque moment spécifique et face à chaque nouvelle situation, nous permet d'accroître notre performance, flexibilité et notre résistance au stress.

La prouesse de l’être humain n’est pas constante, elle varie en fonction de plusieurs paramètres et facteurs: Je ne suis pas la même personne qu’hier et demain je ne serais pas la personne d'aujourd’hui. Il est à noter que, pour un même fait subi, je pourrais me comporter de trois façons différentes, c’est comme dire, que mon état d’âme ou mon humour intervient dans ma prise de décision. Aussi, un même événement n’aura pas la même répercussion et la même influence sur un groupe d'individu. La personnalité, le quotient intellectuel, l’expérience, les coutumes etc. propres à chacun, font que l’impact d’un fait quelconque sera distinct.

Connaitre donc ses capacités et limites, ses points forts et faibles, savoir ce que peut engendrer un stress important ou une fatigue excessive, être conscient de l’état de sa forme et du degré de son attention, permet d’une manière significative d’éviter certaines erreurs qui peuvent être commises. 

La formation par des thèmes ciblés, permet aux personnes de mieux gérer les situations à risques, de réagir d’une façon saine pour éviter de créer des conflits et d’en tenir compte de facteurs perturbateurs lors d’une prise de décision importante.

dimanche 16 octobre 2016

NOSTALGIE : Dédier à tous les chevaliers du ciel


Chaque être humain, après un certain temps qui peu etre plus ou moins long, en fonction de l’âge, on revient un peu en arrière et on essaie de se rappeler ou de revivre certains moments ayant marqués notre vie. Des instants vécus, bons ou mauvais mais qui ont laissé une trace que rien ne pourrait effacer. La nostalgie pour moi c’est le désir et l’envie de vouloir revivre encore une période assez longue que j'avais vécu pendant des années et où le plaisir, la peur et l'audace se mêlent. Il suffisait tout simplement de fermer les yeux pendant un bref instant et d’appuyer sur le poussoir Play en haut à gauche de l’application «souvenirs» sur l’écran du cerveau et hop ! Le film commence à se dérouler, vous projetant bien des années en arrière, là où vous vous sentiez heureux et bien dans votre peau ; certes les images seront un peu floues mais l’excitation est toujours existante.
Ma bibliothèque contenait environ environ 4000 films, cumulé durant une trentaine d’années et dont la plus part sont des courts métrages d’une cinquantaine de minutes. il y en a, aussi quelque dizaines de longs métrages dont la durée peut excéder 1 H 50 minutes. Le choix se fait souvent d’une façon aléatoire ou parfois en fonction d’un fait, événement ou circonstance observé ou ressenti, comme c'est le cas d'aujourd'hui. Il pleut à torrent, le ciel est invisible masqué par de gros nuages noirs qui ne laissent filtrer aucuns rayons solaires,le vent souffle violemment avec une visibilité très réduite de l'ordre de 3 km sous l’effet des averses. Tout d'un coup je me voyais aligner sur la piste pour une mission opérationnelle.
Collé et bien fixé au siege par une multitude de sangles qui ne me laissaient aucune possibilité de bouger, juste mes mains et pieds avaient une certaine liberté mais très limitée. la manette des gaz vers l'avant et un check rapide sur les cadrans et voyants me confirme que tout est OK. De grosses gouttes de pluies continuaient à s’abattre violemment en silence et sans bruit, la glace de verrière et le casque collé sur ma tete ne laissaient entendre aucun bruit. La voix du contrôleur raisonnait dans les écouteurs : «vous êtes autorisé pour le décollage, vent du de 220°, 18 kts …». Les freins sont immédiatement lâches et la suite du message se fait durant et après le décollage. Tous ceux qui ont eu la chance de piloter des engins rapides et puissants, ont tous le souci du fuel, ces machines consomment beaucoup et une simple seconde à beaucoup de valeur.
Vu la nature opérationnelle de la mission, le post de combustion est maintenu allumé pour une acceleration et une montée rapide. A 60 metres du sol je me vois englouti dans la masse nuageuse, je n'ai plus aucune reference et je plonge la tete dans la cabine pour surveiller les instruments, je suis conscient que mon seul salut et de leurs faire confiance, l'erreur coûte très cher. je me rappel aussitôt le cas de tel ou tel ami qui s'est éjecté ou décédé dans des conditions pareilles. les idées et les souvenirs s'activent d'une façon incroyablement rapide et me rappellent la grandeur et la puissance de Dieu. Aucune machine aussi performante soit- elle ne peut égaliser ou rivaliser les capacités du cerveau humain. Ecouter, analyser, répondre, mémoriser, piloter, agir et décider dans un temps très bref et sous stress dû à la grande vitesse, est une preuve irréfutable de la puissance de Dieu.
Le changement du décor, se fait en moins d’une minute, le ciel est d’un bleu azur, le soleil est éblouissant et un tapis blanc interminable s’étend en dessous de moi me donnant l’impression que la terre n’existe plus. J'avais l'impression que je suis seul au monde, rien que moi et cette machine qui me propulsait à la vitesse de 1600 km/h et à plus de 13 000 metres d’altitude. je suis déjà loin de 200 km de ma base, pourtant il n y avait que deux minutes qui sont écoulées depuis que j'avais quitté le sol. deux minutes qui m'ont semblé une demie heure.
15 mn après, ma mission était accomplie et un coup d’œil sur les jaugeurs me rassure qu'il me reste une quantité suffisante de fuel pour trouver mon chemin et affronter les conditions météorologiques pour atterrir et toucher encore une fois le sol. c’est une condition de vie ou de mort car chaque plaisir à son prix.
A LA CHASSE........!

capital humain et facteur humain: L'EGO, C'EST QUOI AU JUSTE ?

capital humain et facteur humain: L'EGO, C'EST QUOI AU JUSTE ?: Les définitions, les explications et les avis sont multiples, chacun ou chaque spécialiste dans un domaine quelconque, vous donnera une o...

L'EGO, C'EST QUOI AU JUSTE ?

Les définitions, les explications et les avis sont multiples, chacun ou chaque spécialiste dans un domaine quelconque, vous donnera une ou des formules en utilisant des mots techniques, scientifiques ou philosophiques pour vous épater sans pour autant satisfaire votre curiosité. Cette attitude elle-même est une de l’ego.
Dans chaque corps humain cohabitent deux êtres, bien évidement ils ne sont pas matérialisés, mais on les distingue par leurs agissements et comportements. Ces deux êtres sont antagonistes et chacun à une direction complètement opposée à celle de l’autre et équivaut à 180°. Il ya un qui est de nature bon et l’autre bien évidement mauvais, le combat est engagé pour la dominance et la suprématie de l’un sur l’autre. On va donc distinguer 3 situations :
La première, c’est le bon qui va emporter le challenge et il va être en mesure de dresser et de mater monsieur “ l’ego“. Pour ce faire, il n ya qu’un seul et unique moyen : le savoir et la connaissance.
La deuxième, c’est l’ego qui va dominer et soumettre monsieur “le bon“ à ses désirs et caprices, on va observer une soumission totale sans aucune réaction, la cause servilité est dû à l’ignorance et la méconnaissance.
La troisième, une certaine égalité dans les combats, tantôt c’est l’ego qui l’emporte, tantôt c’est le bon.
Ce que l’on peut déduire dans ces trois cas c’est ce qui suit :
 Dans la première situation, la personne mène une vie heureuse, calme et satisfaisante. Elle se sent bien dans sa peau, car elle a compris ce que c’est le vrai sens de son existence. Cette catégorie de gens est très minime
 La seconde classe qui constitue la majorité de personnes, mène un train de vie que l’on peut qualifier d’esclavage et de soumission, ils ont baissé les armes et subissent sans réagir et sans réfléchir. Ils se réconfortent en disant qu’on n’est pas les seuls et on fait comme tout le monde.
 Ceux qui sont dans la dernière catégorie, sont les plus malheureux et souffrent énormément, leurs vies est un enfer et le combat est perpétuel, quand c’est l’ego qui l’emporte, ils éprouvent du remord et regrettent d’avoir perdu, ils se jurent que la prochaine fois ne vont pas se laisser avoir. Quand c’est eux qui gagnent, ils éprouvent un sentiment de bien être et une satisfaction immense à lutter, espérant qu’un jour ils pourront en fin dominer leurs ego et passer à la première classe.
Dieu parle de l’ego dans le coran, c’est : “AL9ARIN“, il nous explique que le jour du grand jugement, ils vont s’accuser mutuellement, chacun essayera de faire endosser la responsabilité sur l’autre. Dieu leur dira que ce n’est plus la peine de se chamailler maintenant et que tous les deux sont voués à l’enfer.

samedi 15 octobre 2016

TRANSMETTRE ? !



Le fait déjà de dire ou d’écrire  juste le mot: “transmettre“, chacun d’entre vous va l’interpréter et le comprendre à sa façon et sa manière. Transmettre quoi, qui ou quand ? Nous allons avoir naturellement plusieurs interprétations différentes, équivalentes même au nombre de l’assistance. 
Maintenant si on défini le contexte d’utilisation, comme par exemple dire : “Transmettre une idée“. Nous pouvons observer certainement une diminution dans les interprétations des auditeurs, ce qui est normale. Maintenant si je rétréci encore le contexte et j’ajoute “transmettre une idée politique“, le champ va aussi diminuer, on sait actuellement qu’on parle politique et non médecine, cinéma ou astrologie. Je vais également m’amuser à cerner de plus en plus le contexte et d’ajouter encore “…sur le Maroc“. Donc plus on détaille plus les divergences chez l’assistance vont diminuer. Effectivement, partant juste du mot initial “transmettre“ tout court et arrivant à la phrase “transmettre une idée sur la politique du Maroc“, n’a pas du tout le même sens et la même signification.


Moralité, bien que le contexte soit bien définit et détaillé, un autre facteur entre en jeux. La personnalité de l’émetteur et du récepteur est différente, également l’âge, le niveau d’instruction, le QI et une multitude d’autres facteurs, font que la communication entre les êtres humains est sources de conflits, accidents et stress.