mercredi 30 novembre 2016

LETTRE OUVERTE A AZIZ AKHANOUCH


Ce que je vais écrire ou disons, le message que je veux faire passé à travers cette analyse, relève de la technique de "résolution de problèmes", qui se base uniquement et essentiellement sur l’observation des faits, l’analyse des données et le diagnostic objective de la situation ou du dysfonctionnement. Ce procédé ne tient compte que de ce qui est réellement observés, vus et existant
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Le Maroc vit une situation de blocage politique qui perdure depuis les dernières élections d’octobre. La constitution d’un gouvernement semble une tache difficile et sans issue, (je crois que ce cas est exceptionnel dans l’histoire du pays). D’habitude, le partage des valises ministérielles ou du gâteau comme avait dit le Roi, ne demandaient pas une aussi longue période. Tous les gouvernements ou presque, qui s’étaient succédé, savaient tous parfaitement conjuguer le verbe "manger" par cœur et rien d’autres. Il semble cette fois-ci là, qu’il ya au moins, sinon plusieurs verbes nouveaux, qui ont été ajouté et que les élèves ne savaient ou n’avaient pas l’habitude de les conjuguer.
Quel est donc l’événement qui peut être lié à ce changement ? Quels sont les faits, changements et imprévus qui se sont opérés ou se sont produits et auxquels on peut attribuer ce blocage de la situation ?
Pour mon humble raisonnement, (et je ne vous pris pas d y adhérer forcement), il n ya eu qu’un seul petit changement dans la scène politique du pays, tout le reste est resté comme avant. Les partis politiques, les leaders, les coalitions, les slogans, les devises bref, tout est pareil sauf le changement qui s’était opéré au RNI. Un nouveau leader à la tête de ce parti semble bien être la raison de cette tournure et chamboulement de la situation. Je crois que ce monsieur sait conjuguer tous les verbes, sauf celui de "manger".
Pour ne pas être très long, je crois que tous les abstentionnistes aux élections en sont conscients, ils ont ressenti qu’il ya un certain air sain qui commence à souffler et une petite lueur d’espoir qui apparaît à l’horizon. Mon message est donc le suivant : Mr akhanouch, je ne vous connais pas et je ne peux pas avancer des choses sans fondements, mais mon diagnostic est basé sur vos démarches, prise de positions et attitudes me permet de dire que vous êtes différent à ce qui est habituel. C’est donc exactement cette attitude inhabituelle qui confirme mon opinion positive sur vous.
Je clôture en vous disant que l’espoir des marocains et du pays repose en grande parti sur votre décision. Je ne peux pas vous dire ce que vous devriez faire ou ne pas faire, pour la simple raison que je ne dispose pas de données concrètes. On vous fait confiance et on vous souhaite Bonne chance.
                                                            Par un des patriotes marocains

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